Nadine, en un coup d’œil:

  • Née le à 10/04/1959 à Mons
  • Au SPARKOH! depuis le 1er juin 2001
  • A vécu à la Louvière, Seneffe, Casteau, Villers-Saint-Ghislain, Mons

Qu’est-ce qui te fait te lever le matin ?

Je me réveille toujours sans réveil. Je suis obligée de me lever (rires), je vais dormir tôt, je dors 8h par nuit.

En trois mots, comment décrirais-tu ton rôle au SPARKOH! ?

  • Plus que nécessaire
  • Historique (je suis là depuis 20 ans)
  • Transmetteur d’expériences et de compétences

Quel est ton principal défi professionnel ?

(Rires) Arriver à la pension! Être la première pensionnée du SPARKOH!

Il ne faut pas que je tombe malade ni qu’il y ait une restructuration, il me reste 2.5 ans, ça fait drôle !

Si tu devais choisir un mentor, qui serait cette personne ?

J’en ai plusieurs, dans la vie du SPARKOH! Jean-Marc Providence et André Crémer. Deux directeurs avec lesquels j’ai aimé travailler et qui m’ont appris beaucoup, deux personnalités différentes. 

Qu’est-ce que tu préfères dans ton travail ?

Tout ! Je ne suis jamais venue avec les pieds de Plomb. La diversité, le fait que l’on soit une PME, d’avoir une vue d’ensemble sur l’entreprise.

Quand était-ce la dernière fois où tu as ri aux larmes ?

Pleurer, ça je m’en souviens mais ri aux larmes ?

Pleurer… c’est quand on a restructuré en 2012 et qu’on a dû licencier des gens pour lesquels on n’avait rien à se reprocher. Rire aux larmes… je n’ose pas le dire… quand on se moquait parfois de certains de nos collègues qu’on imitait, des gens qui ne sont plus chez nous. Est-ce qu’on peut dire ça ?

Que fais-tu en cachette ?

Ici ou chez moi ? Grignoter

Sucré ou salé ? Sucré et diversifié

TikTok ou Instagram ?

Instagram

J’ai connu l’époque où mes enfants ont eu leur premier PC, on leur mettait une demi-heure ou une heure pour pouvoir chatter avec leurs copines, c’était le début. J’ai travaillé à une époque où il n’y avait même pas de PC.

Quelle est ta citation préférée ?

« La vie vaut la peine vaut d’être vécue. »

Plutôt plage ou montagne ?

Ni l’un ni l’autre.

Plutôt désert ou grande ville urbaine ?

Grande ville urbaine, j’ai besoin de mouvements.

Un menu idéal pour ce soir ?

Un bon américain.

La cause qui te mobilise ?

Il y en a plusieurs ! Une qui me mobiliserait alors parce que je ne suis pas impliquée, « les enfants battus ».
J’ai quand même parfois donné quelques claques à mes filles.

Un tic, une manie, une obsession ?

Arriver à l’heure et que les autres arrivent à l’heure aussi. Ici, ils le savent.

Ton moyen de transport préféré ?

La voiture

Qu’est-ce qui t’as manqué en 2021 et que tu rêves de faire en 2022 ?

Aller au cinéma et voyager en dehors de l’Europe. Je ne sais même pas si je vais le faire en 2022.

Ton expo coup de cœur au SPARKOH!

(Rires) Je me remémore mes 20 ans. J’aimais bien Tutti ce n’est pas vraiment une expo, mais il était attachant.
(Tutti a été remplacé par SPARKIH en 2021 ndlr.)

Ton expérience préférée au SPARKOH! ?

Il y en a eu plein. Engager.

Une anecdote au SPARKOH!?

Maison du Charbonnage Frameries

Là j’en ai plein. Quand j’ai été engagée, le responsable de l’exploitation de l’époque m’a fait rencontrer le personnel en place et il m’a présenté à la responsable de l’équipe d’entretien en interne (une équipe de 4,5 personnes). Elle voulait faire engager son mari au Pass et j’avais dit au directeur d’exploitation, que moi les couples en interne je n’en voulais pas!  

Une semaine après, il se mariait avec une employée (Rires). En fait il ne m’a pas dit « dans une semaine je vais me marier avec Edwige ». L’avantage, c’est qu’il était sur le site et elle, elle travaillait dans la maison du charbonnage qui est un peu plus haut sur la droite quand on monte vers Frameries. Une très belle maison bourgeoise, qui appartenait aux propriétaires du charbonnage, avec un immense jardin, il y avait une piscine, un terrain de tennis et des rosiers exceptionnels. C’était des industriels qui n’avaient pas d’enfants, ils ont donné la maison à la commune de Frameries. On a travaillé là 3-4 ans avant de venir ici. Quand on a lancé le Pass, il nous fallait des bureaux, avant d’ouvrir le site, dans les jardins, ils avaient mis des algecos- bureaux modulaires-, et c’est là que les animateurs se formaient.